Metteuse en scène Réalisatrice Directrice artistique
PRESSE
Radio-Canada - La Machine à voyager dans le temps, exposition permanente du Centre des mémoires montréalaises
«L’un des points d’orgue de l’exposition est La machine à remonter le temps, un espace circulaire dont les murs sont couverts de projections vidéos et d’artéfacts représentatifs de la grande métropole qui se vit en groupe, dans les mots de Catherine Charlebois, comme l’effervescence entourant l’Expo 67.
C’est six voyages qu’on active avec la console et qui durent cinq minutes. Ils permettent d'explorer des moments collectifs qui ont changé l’histoire de la ville, des moments de solidarité, de fierté, de tension.»

La Presse - La Machine à voyager dans le temps, exposition permanente du Centre des mémoires montréalaises

«Une machine à voyager dans le temps ravive sous nos yeux des évènements gravés dans la mémoire collective de Montréal. Cette installation interactive nous transporte au temps de la Grande Paix, d’Expo 67 ou encore de la COVID-19 grâce à des vidéos d’archives, des jeux de lumière ingénieux et des objets emblématiques accrochés à un mur.»
Le Devoir - La Machine à voyager dans le temps, exposition permanente du Centre des mémoires montréalaises
«On ne s’ennuie jamais dans ce parcours bien conçu. Les visiteurs peuvent afficher sur de grands écrans des présentations multimédias où l’on voit et entend des gens raconter leur histoire. De grands événements (Expo 67, la construction du métro), des tranches de vie, des lieux marquants se rappellent à notre mémoire.»

La Presse - Battements de rêves

«Dans la pièce Battements de rêves, un enfant en attente d’une transplantation cardiaque se retrouve sous anesthésie générale. Jusqu’à son réveil, il quitte l’univers médical pour celui de l’imaginaire. Grâce à une immense projection numérique avec laquelle l’acteur Maxime-Olivier Potvin interagit, les spectateurs sont témoins du parcours intérieur du garçon qui, plutôt que de céder à la peur, navigue courageusement dans le monde des rêves. Créé par la compagnie Youtheatre, ce spectacle contemplatif et presque sans paroles est destiné à un public de 6 à 12 ans.»
La Presse - Ce Monde-là
«Ce ne sont pas des pièces de théâtre comme les autres.
On ne les regarde pas en salle, mais plutôt en ligne. Par leur signature visuelle, elles ressemblent à des films. Dans la dernière année, la compagnie de théâtre jeunesse Youtheatre, en collaboration avec Télé-Québec, a lancé trois pièces numériques destinées aux adolescents. La plus récente création, Ce monde-là, met en scène Naïla Louidort et Rebecca Vachon dans un bouleversant face-à-face. Un affrontement qui parle de racisme, d’agression sexuelle, mais également d’écoute.
La pièce numérique Ce monde-là est unique en son genre. D’abord, par sa forme. Deux caméras qui filment chacune l’une des protagonistes dans un impressionnant plan séquence de 37 minutes imaginé par la réalisatrice Véa.»

New Canadian Media - Ce Monde-là

«For Véronique Bossé, the play’s new director, it was important that the cultural and racial context be accurate and for the characterization of the two teenagers at the heart of Ce monde-là to be a realistic representation of the struggles and preoccupations of today’s youth. According to Bossé, one of the main concerns during the rewriting was ensuring the character of Neyssa was free from any outdated representations of newcomers or immigrants to Canada. “We really tried to break it down and not create a stereotype,” Bossé said about the process. »
Courrier du Sud - Pandore
«Sur la scène, les deux comédiens rendent vie à leur personnage de façon captivante, rappelant toute la complexité de la période adolescente. Leur interprétation est telle que plus le temps avance, plus le stress se transforme en fascination pour l’histoire qui est jouée. »

Revue JEU - J'ai Jamais...

«C’était la grande première de son solo à la Maison Théâtre, reporté en 2020 en raison de la pandémie. On imagine le tract... Or, quand elle a commencé, pas un souffle ne s’est fait entendre parmi les quelque 400 élèves de 12 à 17 ans, et ce pendant les 50 minutes de la représentation. Cette qualité d’écoute s’explique par une performance impressionnante, certes, par le très bon texte de Rhiannon Collett et le rythme soutenu de la mise en scène de Véa, mais avant tout par l’aura énigmatique qu’on nomme "la présence".»
LGBTQ+ Los Angeles Film Festival - J'ai Jamais... (The Kissing Game)
« Best Feature Film » Los Angeles LGBTQ+ Film Festival

Appréciation du public - LGBTQ+ Los Angeles Film Festival
Montreal Gazette - Pandora

«While it addresses uncomfortable realities and aims to educate, Pandora doesn’t moralize. It’s not a warning against pornography so much as a reminder that it’s an artificial construct that must be consumed with caution. The take-away message is that real- world intimacy requires mutual respect and communication — life lessons that will matter far long after the pandemic, with all the binging on screens, subsides.»
Le Devoir - Jaunes et rouges brillent les étoiles

«Porté par les expérimentés Béatrice Picard, Suzanne Garceau, Dorothée Berryman, Mireille Metellus et Luc Morissette, « un cadeau », le texte est mis en lecture — et en musique — in situ, dans la salle communautaire d’une résidence pour personnes âgées autonomes : la Maison des aînés Hochelaga- Maisonneuve.»
Journal Métro - Jaunes et rouges brillent les étoiles
«Et pour les deux représentations, le collectif est venu demander aux pensionnaires des souvenirs musicaux précis liés à leurs histoires d’amour. «La musique est importante quand on est âgé, car elle fixe des souvenirs reliés aux sentiments. Et quand il réentendent une chanson, ça les touche encore, et cela immerge encore plus les spectateurs», a expliqué Véronique Bossé. C’est pourquoi la lecture sera parsemée de chansons.»

«Et pour les deux représentations, le collectif est venu demander aux pensionnaires des souvenirs musicaux précis liés à leurs histoires d’amour. «La musique est importante quand on est âgé, car elle fixe des souvenirs reliés aux sentiments. Et quand il réentendent une chanson, ça les touche encore, et cela immerge encore plus les spectateurs», a expliqué Véronique Bossé. C’est pourquoi la lecture sera parsemée de chansons.»
